Charles Gounod
Roméo et Juliette
Giuseppe Verdi
Aïda
Jules Massenet
Manon
Hector Berlioz
La Damnation de Faust
Charles Gounod
Roméo et Juliette
Charles Gounod
Roméo et Juliette :
« On se prend donc à apprécier l'œuvre, lavée de trop de préjugés par Cyril Diederich qui aime cette musique, c'est évident, et adopte des tempi attentionnés, des nuances d'un goût constant. »(Alain Perroux, Le Journal de Genève et
Gazette de Lausanne, 1er avril 1996)
« Sous la direction inspirée de Cyril Diederich, l'O.S.R. transmet, avec une pudeur magnifique et un lyrisme jamais excessif, les couleurs, la délicatesse de cette partition. »(Catherine Buser, Le Nouveau Quotidien, 1er avril 1996)
« Cyril Diederich (…) mène l'OSR avec rondeur et équilibre sur la voie du beau son, ni trop clair, ni trop plein. »(Sylvie Bonier, Tribune de Genève, 1er avril 1996)
« (…) les qualités essentielles de la musique furent sauvegardées, Diederich dirigeant l'OSR avec une grande netteté, un dynamisme et des tempos absolument naturels. »(Christian Colombeau, La Presse Riviera, 1er avril 1996)
« Cyril Diederich, à la tête de l'OSR optimalement disponible, développe de riches facettes convaincantes sur le plan dramaturgique, toujours reliées les unes aux autres dans une continuité formelle. A ce chef d’œuvre, il ne manque pas davantage l'impétuosité que l'intériorisation lyrique. »(Thomas Baltensweiler, Neue Zürcher Zeitung, 2 avril 1996)
Pietro Mascagni
Cavalleria Rusticana
Ruggero Leoncavallo
I Pagliacci
Georges Bizet
Carmen
Georges Bizet
Les Pêcheurs de Perles
Christoph Willibald Gluck
Orphée
Vincenzo Bellini
La Somnambula
Charles Gounod
Mireille
Georges Bizet
Carmen
Jacques Offenbach
La Grande Duchesse de Gerolstein :
« La direction de Cyril Diederich sert impeccablement le rythme léger et vif de l'écriture d'Offenbach en en faisant ressortir la finesse, l'élégance, la superficialité inimitable, non pas en la soulignant mais en la suggérant. »(Roberto Mori, L'Opera, Milan, octobre 2004)
Jacques Offenbach
La Grande Duchesse de Gerolstein :
« Cyril Diederich nous offre une lecture équilibrée en même temps que divertissante de la partition d ’ Offenbach dont il a choisi de faire sonner les tempis soutenus et d’en faire ressortir la délicatesse ; choix avec lequel nous sommes totalement d’accord. »
(Alessandro Cammarano, Operaclick, Milan, 3 novembre 2005)
Hector Berlioz
La Damnation de Faust
Charles Gounod
Roméo et Juliette