Cyril DIEDERICH

PRINCIPALES ŒUVRES LYRIQUES DIRIGÉES À L'OPÉRA DE STRASBOURG

Saison 1992

Graciane Finzi
Pauvre Assassin (création mondiale)

Saison 1997-1998

Gioachino Rossini
La Cenerentola

Saison 1998-1999

Umberto Giordano
Andrea Chénier

Giuseppe Verdi
Simon Boccanegra

Saison 1999-2000

Pietro Mascagni
L'Amico Fritz
Donizetti
La fille du régiment

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Saison 2000-2001

Christoph Willibald Gluck
Orfeo ed Euridice :

« Cyril Diederich (…) investit dans sa direction sa profonde connaissance d'un répertoire qu'il domine comme peu d'interprètes. Entre baroque et romantisme, sa vision ne peut que convaincre pleinement (…) »

(Christian Fruchart, L’Alsace, 31 octobre 2000)

Saison 2001-2002

Gioachino Rossini
Maometto II :

« (…) Cyril Diederich dirige un orchestre aux couleurs inattendues (les violoncelles) qui témoignent d'une forme grandissante de l'orchestre de Mulhouse. »

(Altamusica.com, 6 février 2002)

« (…) Cyril Diederich dirige cet ouvrage avec un soin parfait: il soutient constamment une représentation qui, sur le plan musical (…) comme sur le plan scénique ne manque pas de panache. »

(Marc Munch, DNA, 20 janvier 2002)

« La direction musicale est assurée par Cyril Diederich, qui a également conçu la version ici quelque peu allégée pour la scène, en rossinien consommé qu'il est. Sous sa baguette, l'Orchestre de Mulhouse atteint à un éclat de coloris et à une légèreté dans la puissance qui servent magnifiquement le souffle de l'œuvre. »

(Christian Fruchart, L’Alsace, 20 janvier 2002)

Georges Bizet
Les pêcheurs de perles

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Saison 2002-2003

Jules Massenet
Cendrillon :

« Sous la direction très pure de Cyril Diederich et en parfait accord avec la scène, le son de l'Orchestre symphonique de Mulhouse se muait en un véritable enchantement. »

(Udo Klebes, Der Neue Merker, Vienne, avril 2003)

Saison 2003-2004

Gioachino Rossini
L'Italiana in Algeri

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Saison 2004-2005

Hector Berlioz
Béatrice et Bénédict :

« Cyril Diederich dirige l'Orchestre symphonique de Mulhouse très intuitivement en se mettant amicalement au service des chanteurs. Dirigeant avec prudence, il fait ressortir clairement toutes les nuances de la sonorité "berliozienne" (l'Ouverture : enthousiasmante !). »

(Internationaler Kulturdienst, Vienne, 1er avril 2005)

« Cyril Diederich a veillé à ce que s'instaurent une cohérence optimale et une partialité mesurée, si agréablement légère et pétillante. Sa direction harmonieuse à la tête de l'Orchestre symphonique de Mulhouse a largement contribué à cette représentation très réussie. »

(Udo Klebes, Der Neue Merker, Vienne, 22 mars 2005)

«  L'Orchestre symphonique de Mulhouse sous la direction à la fois solide et délicate de Cyril Diederich a assuré la partie instrumentale de façon tout à fait appropriée. »

(Günter Thiel, Kehler Zeitung, 22 mars 2005)

«  Une aubaine : Cyril Diederich et son Orchestre Symphonique de Mulhouse à l'Opéra national du Rhin arrivent ici au supplément d'âme d'une extraordinaire délicatesse qu'une telle représentation exige. L'orchestre et son chef atteignent un niveau de "culture-Pianissimo" qu'on ne soupçonnait pas ! »

(Heinz W. Koch, Badische Zeitung, 22 mars 2005)

« Au pupitre, Cyril Diederich a veillé à ce que Berlioz n'arrive pas de façon trop virulente. Il en a préparé la musique avec justesse et prudence. Ainsi, cette musique habile et astucieuse, parfois si retentissante avec toute sa bravoure, de quelle belle manière le chef l'a t-il réinventée. »

(Nikolaus Schmidt, Stuggarter Zeitung, 22 mars 2005)