Henri Sauguet
Les Mirages
Francis Poulenc
Dialogue des Carmélites
Gioachino Rossini
La Cenerentola
Jacques Offenbach
Les Contes d'Hoffmann
Georges Bizet
Carmen
Domenico Cimarosa
Il Matrimonio Segreto
Charles Gounod
Mireille :
«La direction de Cyril Diederich (…) nous a semblé à la fois ferme et sensible, concernée, fervente.»(Anne Rey, Le Monde, 16 mars 1993)
«(…) un orchestre Colonne en grande forme placé sous la baguette sensible et précise de Cyril Diederich.»(Pierre-Petit, Le Figaro, 11 mars 1993)
«La tension dramatique vient de la fosse avec Cyril Diederich à la tête du bel Orchestre Colonne : la direction est précise, vivante (…)»(Claude Ollivier, Radio Notre-Dame, 10 mars 1993)
Gian Carlo Menotti
Le Médium
Marcel Landowski
Les Adieux
Giacomo Puccini
La Bohême
Charles Chaynes
Noces de Sang
Vincenzo Bellini
La Sonnambula
Charles Gounod
Faust
Arthur Honegger
Le Roi David
Charles Gounod
Mireille
Gustave Charpentier
Louise
Georg Friedrich Haendel
Ariodante
Robert Schumann
Genoveva
Georges Bizet
Les Pêcheurs de perles
Giacomo Puccini
La Bohème
Carl Maria von Weber
Le Freischütz
Gioachino Rossini
Le Turc en Italie
Giuseppe Verdi
Un Ballo in Maschera
Giacomo Puccini
Tosca
Pietro Mascagni
Cavalleria Rusticana
Alberto Bruni-Tedeschi
Il Mobile Rosso (création mondiale)
Giuseppe Verdi
Un Ballo in Maschera
La Forza del Destino :
« (…) la direction de Diederich a su nous faire sentir la palpitation incessante de la partition. »(Christian Colombeau, Scènes Magazine, Suisse, avril 1995)
« S'il fallait désigner le héros de la représentation, c'est Cyril Diederich, le directeur musical, qui emporterait mes suffrages tant il a marqué de son style personnel la qualité d'une interprétation hors du commun. »(Claude Taelman, le Méridional, 7 mars 1995)
« Au pupitre, on apprécie la présence de Cyril Diederich en magnifique coordinateur du plateau et de la fosse, avec ses qualités de précision, la science des contrastes dans les couleurs orchestrales comme dans les volumes, et l'efficacité de son impulsion dramatique. »
(Robert Sabon, La Gazette, 8 mars 1995)
Wolfgang Amadeus Mozart
Die Zauberflöte
Giacomo Puccini
Madame Butterfly :
« La direction dramatique et nerveuse de Cyril Diederich (…) achevait de participer à la fort belle réussite de l'ensemble. »
« (…) tout le savoir-faire de Cyril Diederich dans l'art de restituer l'extraordinaire intensité dramatique qui se dégage de la musique de Puccini. »
(Claude Taelman, La Provence, 2 décembre 2001)
« (…) la baguette musicale, précise et envolée de Cyril Diederich (…) qui a su avec beaucoup de talent donner un juste équilibre harmonieux entre la fosse et la scène (…) »
(Le Dauphiné, 5 décembre 2001)
« Cyril Diederich (…) de cette œuvre complexe a su en extraire une lecture claire tout en maintenant en relief a ligne mélodique de la voix chantée. »
(Denis Duché, La Gazette Provençale, 6 décembre 2001)
Wolfgang Amadeus Mozart
Le Nozze di Figaro
Charles Gounod
Faust (Direction musicale Cyril Diederich, mise en sc�ne Nadine Duffaut) :
« D�s le premier accord de l'Orchestre National d'�le-de-France, Cyril Diederich r�v�le les deux ingr�dients de sa version : simplicit� et �l�gance. Simplicit� dans sa direction, �l�gance dans ses phras�s. Toujours � la recherche d�un �quilibre sonore entre les chanteurs et les instrumentistes, il mod�le avec brio les couleurs de l�orchestre et met son intelligence musicale au service de l�expression m�lodique comme lors de l�air de Valentin � l�acte II (Avant de quitter ces lieux...). Mais diriger n�est pas chez Cyril Diederich synonyme de contr�le exclusif : il c�de volontiers sa place de leader musical aux diff�rents chefs d�attaque afin qu�ils puissent pleinement exprimer leur musicalit� (comme lors du duo entre le premier violon et Faust dans son air Demeure chaste et pure, acte III). »
(Anne Heijboer, olyrix.com, 12 novembre 2017)
« On sait la passion de Cyril Diederich pour le th��tre lyrique. Il insuffle � ce Faust quand m�me un peu rab�ch� une jeunesse, une vigueur et un allant qu�on avait un peu oubli�s (...) au profit d�une vraie force dramatique (...) l�orchestre r�v�le sous sa baguette des finesses instrumentales rarement entendues, et dans la partition quelques moments d�un modernisme inattendu. L�int�r�t de cette repr�sentation lui doit beaucoup. »
(Jean-Marcel Humbert, forumopera.com, 10 novembre 2017)
« L�orchestre National d��le-de-France s�exprime d�embl�e intense (cette ouverture profonde), pour pers�v�rer d�multipli� entre emportements et subtilit�s. Tous soulev�s qu�ils sont par la direction enflamm�e de Cyril Diederich, qui fait justice des m�lodies inspir�es de Gounod, menant ses troupes dans une tension sans rel�che, pas m�me pour laisser place aux applaudissements, au long de cet exigeant Faust version longue. »
(Pierre-Ren� Serna, concerclassic.com, 12 novembre 2017)
« (...) la direction tout en dentelle de Cyril Diederich, superbe de pr�cision dans les d�tails r�v�l�s aux vents notamment, mais plus discret dans les tutti, sans parler des quelques d�calages avec les chanteurs. Diederich compense ces imperfections par un sens solide de la conduite du discours dramatique, soutenu par un Orchestre national d��le-de-France dont l�engagement force l�admiration de bout en bout. »
(Florent Coudeyrat, ConcertoNet.com, 12 novembre 2017)