Saison 1984-1985

Wolfgang Amadeus Mozart
La Flûte enchantée
Les Noces de Figaro :

« Emmené par Cyril Diederich, l'Orchestre de Montpellier Languedoc-Roussillon n'est plus seulement un groupe de musiciens. Il acquiert à chaque sortie un peu plus de personnalité. »

(Jean-Vincent Richard, L'Événement du Jeudi, 13 juin 1985)

Robert Schumann
Genoveva (création française) :

« (…) un orchestre chaleureux, amoureux des voix, dialoguant avec elles ou les accompagnant à l'unisson, qui a montré les belles qualités des musiciens de Montpellier et de Cyril Diederich, à qui l’on doit en majeure partie cette réhabilitation de l'œuvre avec son véritable accent. »

(Jacques Lonchampt, Le Monde, janvier 1985)

« La véritable chance de cette création a été essentiellement la direction amoureuse et attentive de Cyril Diederich (…) »

(Sergio Segalini, Opéra International, mars 1985)

Pascal Dusapin
Roméo et Juliette (création mondiale) :

« Tous les interprètes, les chœurs et l’Orchestre de Montpellier ont merveilleusement réalisé cette œuvre sous la baguette de Cyril Diederich, qui donne souffle à tout ce qu'il dirige. »

(Jacques Lonchampt, Le Monde, 12 juillet 1985)

Saison 1985-1986

Wolfgang Amadeus Mozart
Idomeneo :

« (…) cette belle soirée, grâce à l’interprétation de Cyril Diederich, de son bel orchestre et de ses superbes chœurs (…) »

(Jacques Lonchampt, Le Monde, 31 janvier 1986)

«Le résultat est spectaculaire. Un véritable plaisir mozartien que cet orchestre équilibré, nuancé, présent au niveau de chaque pupitre, assurant l'ossature et la vie intérieure de cet opéra seria. »

(Brigitte Massin, Le Matin de Paris, 7 février 1986)

« Et encore une fois Cyril Diederich fait la preuve de son talent de chef en même temps qu'il donne à entendre les progrès constants de son orchestre: Mozart est pour cela impitoyable.»

(Alain Duault, L'Événement du Jeudi, 13 février 1986)

« Musicalement, la représentation doit beaucoup à Cyril Diederich, qui mène avec un sens véritable du mouvement dramatique et une chaleur très romantique l'orchestre de Montpellier (…) »

(Alain Fantapié, Opéra international, mars 1986)

Giuseppe Verdi
Luisa Miller :

« (…) l'interprétation musicale est forte. On admire le travail effectué par Cyril Diederich avec l'Orchestre philharmonique de Montpellier L.-R.. (…) il donne une lecture solide et riche de la partition. »

(Gérard Mannoni, Le Quotidien de Paris, 7 juin 1986)

« L'orchestre de Cyril Diederich (…) Ses progrès me paraissent évidents chaque fois que je l’entends. Il a gagné en précision, en propreté d'exécution. »

(Alain Fantapié, Opéra international, 15 août 1986)

« Cyril Diederich welded together the various elements of this great and complex work with his usual enthusiasm and efficiency (…)

(Tony Mayer, Opera, septembre 1986)

Saison 1986-1987

Amilcare Ponchielli
La Gioconda :

« Sous l'impulsion d'Henri Maier et Cyril Diederich, l'Opéra de Montpellier est devenu un des lieux les plus intéressants de l'art lyrique. Après une excellente Luisa Miller en juin, c'est une manière de coup d'audace que de nous révéler la Gioconda d'Amilcare Ponchielli (…)
Cyril Diederich montre ses grandes qualités de chef à l'italienne alliant précision et clarté avec un lyrisme frémissant, qui galvanise son orchestre (…) et des chœurs en progrès constants. »

(Jacques Lonchampt, Le Monde, 29 octobre 1986)

« C'est la direction de Cyril Diederich qui procure la satisfaction la plus complète, avec des rubati splendides, le tout sans jamais couvrir les chanteurs mais en nourrissant la couleur du chant. Il fait entendre les beautés de l'œuvre. On veut la réentendre ! »

(Alain Duault, L'Événement du Jeudi, 6/12 novembre 1986)

« Il y a la richesse sonore, une parfaite dynamique et un réel sens des beautés à mettre en relief en évitant toute vulgarité. Diederich est décidément une des valeurs les plus sûres parmi nos chefs (…) »

(Gérard Mannoni, Le Quotidien de Paris, 8 novembre 1986)

« Cyril Diederich confirme la valeur du travail qu'il mène depuis quelques années avec l'Orchestre philharmonique de Montpellier, en progrès constants. »

(Jacques-E. Fousnaquer, l'Humanité, décembre 1986)

« Ce succès est celui d'un orchestre qu'en peu de temps Cyril Diederich a su modeler puis perfectionner. Il a la passion de la jeunesse, ses emportements, sa tendresse : que souhaiter de plus à la musique de Ponchielli, sans pathos excessif, sans tintamarre, avec sa vraie charge d'émotion. »

(Pierre Cadars, Opéra International, décembre 1986)

Joseph Haydn
Orphée et Eurydice :

« Cyril Diederich a parfaitement su déployer les multiples couches de cette partition, en souligner tout à la fois la rigoureuse exigence classique et la palpitation passionnelle, les frémissements, servi par un orchestre attentif, avec des cordes de plus en plus colorées et rondes et une harmonie dont la cohésion s'affirme. »

(Alain Duault, L'Événement du Jeudi, 19/25 février 1987)

Carl Maria von Weber
Oberon :

« (…) l'Orchestre Philharmonique de Montpellier brille de tous ses jeunes feux. Grâce à Cyril Diederich, il a désormais toute l’ardeur romantique que requiert la partition de Weber. »

(Pierre Cadars, Opéra International, juin 1987)

Saison 1987-1988

Ludwig van Beethoven
Fidelio

Richard Wagner
Le Vaisseau fantôme

Charles Chaynes
Noces de Sang (création mondiale)

Saison 1988-1989

Giacomo Meyerbeer
Les Huguenots

Saison 1989-1990

Richard Wagner
Parsifal, Acte III

Giuseppe Verdi
I Vespri Siciliani

Saison 1990-91

Giacomo Meyerbeer
Les Huguenots

Richard Wagner
Tannhäuser