Cyril DIEDERICH

PRINCIPALES ŒUVRES LYRIQUES DIRIGÉES EN FRANCE

Palais Garnier

1986

Henri Sauguet
Les Mirages

1994

Francis Poulenc
Dialogue des Carmélites

1999

Gioachino Rossini
La Cenerentola

Haut de page

Opéra Bastille

1993

Jacques Offenbach
Les Contes d'Hoffmann

1994

Georges Bizet
Carmen

Haut de page

Opéra Comique

1984

Domenico Cimarosa
Il Matrimonio Segreto

1993

Charles Gounod
Mireille :

«La direction de Cyril Diederich (…) nous a semblé à la fois ferme et sensible, concernée, fervente.»

(Anne Rey, Le Monde, 16 mars 1993)

«(…) un orchestre Colonne en grande forme placé sous la baguette sensible et précise de Cyril Diederich.»

(Pierre-Petit, Le Figaro, 11 mars 1993)

«La tension dramatique vient de la fosse avec Cyril Diederich à la tête du bel Orchestre Colonne : la direction est précise, vivante (…)»

(Claude Ollivier, Radio Notre-Dame, 10 mars 1993)

1995

Gian Carlo Menotti
Le Médium

Marcel Landowski
Les Adieux

Giacomo Puccini
La Bohême

Haut de page

Théâtre des Champs-Élysées

1988

Charles Chaynes
Noces de Sang

1989

Vincenzo Bellini
La Sonnambula

Haut de page

Palais Omnisports Paris-BERCY, 1992

Charles Gounod
Faust

Haut de page

Opéra de MARSEILLE

1996

Arthur Honegger
Le Roi David

1997

Charles Gounod
Mireille

2002

Gustave Charpentier
Louise

Haut de page

Opéra de NANCY

1983

Georg Friedrich Haendel
Ariodante

1986

Robert Schumann
Genoveva

Haut de page

ROUEN, Théâtre des Arts, Opéra de Normandie

1993

Georges Bizet
Les Pêcheurs de perles

Giacomo Puccini
La Bohème

1994

Carl Maria von Weber
Le Freischütz

1995

Gioachino Rossini
Le Turc en Italie

1996

Giuseppe Verdi
Un Ballo in Maschera

Giacomo Puccini
Tosca

Haut de page

Opéra d'AVIGNON

1994

Pietro Mascagni
Cavalleria Rusticana

Alberto Bruni-Tedeschi
Il Mobile Rosso (création mondiale)

1995

Giuseppe Verdi
Un Ballo in Maschera
La Forza del Destino :

« (…) la direction de Diederich a su nous faire sentir la palpitation incessante de la partition. »

(Christian Colombeau, Scènes Magazine, Suisse, avril 1995)

« S'il fallait désigner le héros de la représentation, c'est Cyril Diederich, le directeur musical, qui emporterait mes suffrages tant il a marqué de son style personnel la qualité d'une interprétation hors du commun. »

(Claude Taelman, le Méridional, 7 mars 1995)

« Au pupitre, on apprécie la présence de Cyril Diederich en magnifique coordinateur du plateau et de la fosse, avec ses qualités de précision, la science des contrastes dans les couleurs orchestrales comme dans les volumes, et l'efficacité de son impulsion dramatique. »

(Robert Sabon, La Gazette, 8 mars 1995)

1998

Wolfgang Amadeus Mozart
Die Zauberflöte

2001

Giacomo Puccini
Madame Butterfly :

« La direction dramatique et nerveuse de Cyril Diederich (…) achevait de participer à la fort belle réussite de l'ensemble. »
« (…) tout le savoir-faire de Cyril Diederich dans l'art de restituer l'extraordinaire intensité dramatique qui se dégage de la musique de Puccini. »

(Claude Taelman, La Provence, 2 décembre 2001)

« (…) la baguette musicale, précise et envolée de Cyril Diederich (…) qui a su avec beaucoup de talent donner un juste équilibre harmonieux entre la fosse et la scène (…) »

(Le Dauphiné, 5 décembre 2001)

« Cyril Diederich (…) de cette œuvre complexe a su en extraire une lecture claire tout en maintenant en relief a ligne mélodique de la voix chantée. »

(Denis Duché, La Gazette Provençale, 6 décembre 2001)

2003- 2004

Wolfgang Amadeus Mozart
Le Nozze di Figaro

Opéra de MASSY

2017

Charles Gounod
Faust (Direction musicale Cyril Diederich, mise en scène Nadine Duffaut) :

« Dès le premier accord de l'Orchestre National d'Île-de-France, Cyril Diederich révèle les deux ingrédients de sa version : simplicité et élégance. Simplicité dans sa direction, élégance dans ses phrasés. Toujours à la recherche d’un équilibre sonore entre les chanteurs et les instrumentistes, il modèle avec brio les couleurs de l’orchestre et met son intelligence musicale au service de l’expression mélodique comme lors de l’air de Valentin à l’acte II (Avant de quitter ces lieux...). Mais diriger n’est pas chez Cyril Diederich synonyme de contrôle exclusif : il cède volontiers sa place de leader musical aux différents chefs d’attaque afin qu’ils puissent pleinement exprimer leur musicalité (comme lors du duo entre le premier violon et Faust dans son air Demeure chaste et pure, acte III). »

(Anne Heijboer, olyrix.com, 12 novembre 2017)

« On sait la passion de Cyril Diederich pour le théâtre lyrique. Il insuffle à ce Faust quand même un peu rabâché une jeunesse, une vigueur et un allant qu’on avait un peu oubliés (...) au profit d’une vraie force dramatique (...) l’orchestre révèle sous sa baguette des finesses instrumentales rarement entendues, et dans la partition quelques moments d’un modernisme inattendu. L’intérêt de cette représentation lui doit beaucoup. »

(Jean-Marcel Humbert, forumopera.com, 10 novembre 2017)

« L’orchestre National d’Île-de-France s’exprime d’emblée intense (cette ouverture profonde), pour persévérer démultiplié entre emportements et subtilités. Tous soulevés qu’ils sont par la direction enflammée de Cyril Diederich, qui fait justice des mélodies inspirées de Gounod, menant ses troupes dans une tension sans relâche, pas même pour laisser place aux applaudissements, au long de cet exigeant Faust version longue. »

(Pierre-René Serna, concerclassic.com, 12 novembre 2017)

« (...) la direction tout en dentelle de Cyril Diederich, superbe de précision dans les détails révélés aux vents notamment, mais plus discret dans les tutti, sans parler des quelques décalages avec les chanteurs. Diederich compense ces imperfections par un sens solide de la conduite du discours dramatique, soutenu par un Orchestre national d’Île-de-France dont l’engagement force l’admiration de bout en bout. »

(Florent Coudeyrat, ConcertoNet.com, 12 novembre 2017)